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    Le Marais d’Ébène

    Raziel
    Raziel


    Messages : 106
    Date d'inscription : 13/11/2013
    Localisation : Faillaise

    Feuille de personnage
    Race: Argonien
    Guilde(s): Confrérie de Sombrecœur
    Alliance:

    Le Marais d’Ébène  Empty Le Marais d’Ébène

    Message par Raziel Mar 14 Jan - 20:02



    Un jeune Argonien de la 4E 182 découvre un mystérieux livre dans le grenier de son camarade de jeu. Sans qu'il le sache, c'était le journal d'aventure de son Ancêtre de la 2E : Raziel

    Chapitre I. En territoire inconnus

    Préface

    ( C'était un après midi d'ennui, comme en a connu tout enfant, quand la pluie bat le toit et que les jeux plus calmes qui conviennent a l'intérieur des maisons n'offrent pas d'attraits. Je me trouvit en visite chez un ami. Nous ne savions que faire. Mon camarade Dumah , un jeune Argonien de mon âge monta au grenier , celui ou son père range le foin et la paille pour les fermiers du village et revint avec un livre. Sans grand enthousiasme, je l'ouvris : C'était Le chant de Coeurébène « Je fuyais les Nagas dans cette nuit épouvantable... » Le père de Dumah toquant a la porte, il me fallait fermé ce livre. Il était formellement interdit de monter dans le grenier. Le jour se couvre, il me fallait rentrer chez moi. J’importe ce mystérieux livres qui m'intrigue étrangement ).

    Sans que je le sache, ce livres allait me permettre de remonter dans le temps, a l'époque de la grande Guerre et du massacre causé par Molag Bal le prince maléfique.
    En retournant chez moi, dans la ruine que je squatte avec mes parent vers 19h, Je ne prend aucunement le temps de manger. Mon livre m'attend. Derrière le Manoir brûlé se trouve un grand terrain clôturée. C'est le meilleur endroit pour se relaxée.

    Je fuyais les Nagas dans cette nuit épouvantable. Fous de souffrance et de fatigue, tout me semblait vain devant eu : J’étais a moitié mort. Il ne faut pas s’arrête, et retourner en mon village. Jais déjà entendu dire qu'ils gardaient dans des cages, depuis l'origine de cette race plusieurs Mâles Argoniens qui les nourrissaient nuit et jour.
    Dans les temps les plus noir, ils réussirent a franchir les fleuves et les marécages des nos contrées boueuse et a entrée dans nos villages pour recevoir leurs substances favorites qui les faisaient vivre : Le sang.


    En tournant la tête, je vis mon père me fixer pendant que je lisais. Il devait être la depuis le début.

    Seewul: Pmff.. Que fais tu? C'est un livre? De quoi parle t-il?
    Daril: Papa, Qu'es qu'un Nagas?
    Seewul: Comment? Quel sottise dit tu. Ces ce livres qui te fait dire des âneries pareil.
    Donne le moi!

    En me l’arrachant des mains, mon père qui pensait que ce n'était qu'un des nombreux livres débiles de l’académie de FordHiver commençait a si intéressé.

    Seewul: Par le Hist! Ne me dit pas que.. Ou.. ou l'as tu trouvé?
    Daril: Pourquoi est tu si choqué par ce livre? Et puis c'est quoi un Nagas?

    Mon père s'assoie près de moi,

    Seewul: C'est le journal d'Aventurier de ton Ancêtre, Raziel. Mon père m'en a vaguement parlé mais D'après quelque histoire a son sujet Raziel a combattu lors de la Grande Guerre des Alliances en 2E 582 est a pénétrer dans le territoire de Molag Bal. Mon père a mit des années a cherché ce bouquin et le faite de savoir qu'il était tout près me... Tu veux bien me le prêter?
    Daril: Assied toi, on va le lire ensemble.

    En courant, je vis un Nagas a la même allure que moi sur ma droite. Celui si se rapprochant, il arrivent devant moi et s’arrête net.
    Il portait une ceinture avec un crâne de pure mâle Argonien. Pour eux, c'est un signe de puissance. J'ai donc affaire au chef de meute. Sa face est si puissante qu'elle en éloignerait le Wamasu, ses dents gorgés de sang devait sans doute le protéger des concurrents pour le titre de chef. Tout ténèbres et malfaisance habitait près de lui. Il tirait une odeur putride de viande congé avarié, les membres de sa meute l'admirait. Il a l'air méchant et sadique. En pointant sa hallebarde purement Nagas sur moi, il me fit comprendre de le suivre. La peur m'envahissait car être prit en otage a 15 par tout un groupe de Nagas assoiffé de sang, c'est le comble pour un Argonien.
    Il n'a pas fallu marcher très longtemps pour arriver a leurs campement, ou du moins sur leurs territoire. Rien a voir avec le nôtre, Une odeur pestilentielle, des cadavres calciné, des carcasse de charrette Marchande, un véritable cimetière. Je vis au loin, un grand feu de joie. C'est leurs campement!!
    Autours du feu, je vis les nôtre enfermées dans ces fameuse cages cité dans les grande Histoire. Elle sont bien réel. La déception m'emporta, nôtre chaman était enfermée. C'était le père, le Gardien, le Sauveur, le Magicien du village, plus farouche cependant, plus terrible que les Nagas.
    Il était mort! L'ennemi l'avait anéanti de l'intérieur.

    Devant moi se trouvait une lignée d'Argonien. Ligotée, enchaîné et torturer. Un moment d’inattention de la part des Nagas et les Argonien se sont enfuient. Pourquoi pas moi ? Pas de temps a perdre. Pendant la fuite, un Argonien était lent. On l'avait vu défaillir, pâlir et décroître. Si faible, il ne pouvait plus traverser les hautes herbes du marécage ; il palpitait comme une bête malade. A la fin, c'était un tas d'écailles blanchâtre, que le vent meurtrissait a chaque souffle..... Il s'était évanoui... Et pour une fois, les Nagas ont renoncé a nous poursuivre.

    La nuit est tombée.
    Il n'y avait pas d'étoiles. Le ciel pesant touchait les profondes eaux du marais ; les plantes tendaient leurs fibres froides ; on entendait clapoter les reptiles. Nuit ou non, nous suivions une ligne de terre plus haute et plus dure. Trois générations avaient connu cette route.
    Vers l'aube, nous approchions de plus en plus de Morrowind. Une lueur transie filtra parmi les nuages brumeux ; les algues des eaux profonde s'enflaient en pustules ; Moi et mes compagnons Sauriens engourdis regardions avec vigilance Morrowind. Nous sommes a la frontière qui sépares notre marais natale et terres de chaleurs et de laves. Pas questions de faire demi tours, les Nagas était surement entrain de dépouiller et dévorer femmes et enfants Argonien.

    Un Braillard s'éleva dans le ciel cendrer de Morrowind. D'ici, le Mont Écarlate était englouti par une vapeur rousse. A part cela, Morrowind reste un beau pays. Avec ses plantes grelottantes et ces terres sablonneuse grisée. Les groupes se dressèrent et ont franchit les Plantes grelottantes qui servent de séparation entre nos deux pays. Nous fûmes après la traverser végétales sur le sable chaud. Un problème était survenue. Les Nagas ayant prit la totalité de notre villages en faisant de celui ci leurs territoires, ou aller maintenant ? Continuer vers Morrowind ne servira qu'a fuir les Nagas mais arrivé en plein cœur de ce pays, ou allé ??

    Quelque kilomètre plus loin, le fièvre de mort tombée, beaucoup devinrent des bêtes inertes : ils croulèrent sur le sol, ils sombrèrent dans le repos. Rares sont les maladies capable d'atteindre l'organismes Argoniens. Ce son ces plantes !!!
    Le peu d'Argoniens restant Courait loin de ces affreux végétaux projetant un gaz toxique et Nauséabonde.
    Au delà de cette nature plus que dangereuse, Morrowind reste un refuge pour nous. Depuis la création du Pacte, ce continent est maintenant un lieu de sûreté. Ce qui n'est plus le qu'a du Marais Noir.

    Daril: Alors papa, ce livre te rappelle certain souvenirs ?
    Seewul: Ce livre me fait palpiter. Tout les récit de mon père au sujet de Raziel son dedans. Magnifique. Dire que c'était ton ancêtre Daril. N'oublie pas que malgré cette ruines qui nous sert de piaule, on vit merveilleusement bien par rapport a la 2Ere. Garde le. Je pense qu'ils t’apprendra de grand secret. Je te laisse le lire pour cette nuit. Ne dit rien a ta mère.

    Il pensait vraiment qu'il était l'heure pour moi d'aller me coucher. Il me fait rire mon père. Comme tout les soirs, je ferme la porte de ma chambre a double tours, j'éteint les lampions, je range mon précieux livres dans les étagères de ma chambres et je sors par la fenêtre. J'aime sortir de nuit en FordHiver lorsque Secunda est pleinement visible, lorsque les Flammouches illumine la nuit et lorsque le silence règne. Comme mes habitudes de nuit, je me ballade au bord des falaises enneigés de FordHiver. Mais cette fois, des jeunes Nordiques traînant de nuit s'était appropriés une partie de la ville. On dirait qu'ils attendent une proie tel des loups. Voyant de loin ma silhouette, ils m’adressent la parole.

    Je n'ais jamais fréquenter les roublards de nuit, je ne commencerais pas en ce beaux soir. Je n'y porte aucune attention. Mais j'ai tout de même bien peur qu'ils me pourrissent ma soirée.

    Jeune Roublard: Hey!! Viens par la Sauriens !!

    Bon très bien, ça sent les mauvaises histoires a plein nez. Il vaut mieux trouver un meilleur endroit.
    La bande de Rouble s'approche. D'un air agressif.

    Jeune Roublard: Hey Sauriens !! Sais tu ou tu es ? Visiblement non puisque tu ne me répond pas !
    Daril: A FordHiver. Si cela ne te gêne pas je..
    Jeune Roublard: Non non!! Tu es sur mes terres ici. Et les Lézard nous on les aiment pas !!
    Daril: Très bien je m'en vais.
    Jeune Roublard: C'est ça dégage. Je te revoit plus bien sur. Déguerpie !
    ALLER les gars !!

    Soudain, une ruée de pierres sont lancée par la bande de sale gosses. J'ai bien compris se que cela voulait dire. Dégage !!
    En courant, une pierre camouflé par la neige et invisible de nuit se trouvait sur ma trajectoire. Des craquements. Un fracture au genoux.
    Criant a l'aide, les seuls âmes ayant entendu mes cries n'était pas venue m'aider. C'était eux, les Roublards. En cercle devant moi, ils m'ont entouré.

    Jeune Roublard: Pauvres de moi, un animal blessé. * D'un air mesquin *
    * Rires *
    Jeune Roublard: Que faire de cette pauvres bête ? Heiin ?? Elle souffre les gars ! Que faut-il faire dans de tel cas ?
    Jeunes Roublards: Achever les êtres souffrant * Rires *
    Daril: Non !! non!! Pitié !
    Jeune Roublard: Comment ça Non !! Les gars * Auch la tête *

    Les Roublards sortent de derrière eux des planche de bois cloutée. Mon père me disait toujours d'affronter la mort avec courage mais.. C'est impossible dans de tel...

    La neige est devenue rouge sang autours du cadavres du jeunes Argonien. Les coup de bâton portée sur le cadavre on alarmé le chien de la maison la plus proche. Le propriétaire sortant de sa demeure, il s'aperçus rapidement que quelqu'un était blessé. Les Flammouches y aident vachement. En se rapprochant, il vit que la personne en questions était d'une petite taille et dotée d'une queue et d'écailles. Une seule famille d'Argonien habite en FordHiver. Le vieillard s’empresse d'informer le père de la victime. Il accours vers leurs demeure. Dans le ciel d'un profond bleu foncée, on aperçoit de la fumée, puis une odeur de cramée survient. Tout FordHiver est réveiller par l'odeur que procure le bois brûlé. La demeure en ruine appartenant a la familles Argonienne brillait de mille feu ! Autours de la demeure se trouve les Roublards tenant chacun une torche a la main. Un premier rigole, un autres danse, un troisième part se cacher et le dernier, le chef de clan lui tenait un regard mesquin, comme un regard de haine. Une posture diabolique avec une torche a la main droite.

    Les gardes arrivent enfin ! Tu parle d'une autorités. C'est a croire qu'ils ont tous prit une flèche dans le genoux. Les Rouble sont bouclés en cellules et les personnes dévoué éteignent le feu.

    Le lendemain, a l'aube, le vieux Nordique propriétaire du chien veut prendre des nouvelles de la maison calcinée et de la pauvre famille Argonienne tuée par une connerie de jeunesse. Le vieillard était l'un des seuls a apprécier cette famille. La race Argonienne n'est en rien réputée pour sa bontés et sa bonne fois. Les autres habitants rejetait toujours la faute sur eux lors des vols, assassinat et disparition. Le vieillard, toujours en compagnie de son clébard, part explorer la maison de bois ardent. Dedans, tout les meubles, biblos, et autres objets sont calcinée. Mais le chien semble suivre une piste. Celle-ci menant a une chambre. La truffe du chien a menée son maître dans la chambre du jeune Daril. Dans celle-ci, le meuble prêt du lit n'est plus que cendre. Pourtant, le chien semble s'obstinée et oblige son maître a fouillé le tas de poussières. Le vieillard n'en revient pas, tout semble détruit mais se qu'il vient de trouver est intact. Le livre de Daril. Quelque chose de magique le protège. Une pages spéciale est tenue par un bout de tissu rouge. Une sorte de marque page.
    Le vieux Nordique Ouvre le livre.

    Les yeux persan de l'un des membres du groupe voit au loin, derrière la poudreuse rousse des habitations. Ils nous fallait se hâter.
    En courant, le sable était beaucoup plus chaud. Il en brûlé presque les écailles. Heureusement, a se que dit le guetteur, le village n'est plus très loin. Sur la route, quelques Scribs et Shalks effraient les femmes. Sur notre trajectoires se trouvait de l'eau. Idéal pour prendre quelques instant et nous rafraîchir les pattes. Mais arriver devant la marre, elle est infesté de poisson Carnassier. Nous ne sommes pas équiper pour combattre. Notre repos et notre rafraîchissement se ferrât en ville.

    Enfin Arrivée ! Il faut avoué que sans le pacte, les Dunmers nous aurais déjà capturée. Directions les mines d'ébonites brute !! Même si une alliance est fondée, ces Elfes nous regardait d'un mauvais œil. Etant des inconnus, on nous esquivait, on nous pointait du doigt, Seul un Elfe, un seul ne c'était pas écartée.

    Dunmer: Je vous ais aperçus de bien loin mes amis. Il ne faut en aucun cas avoir crainte de moi. Vous êtes ici chez vous ! Bien suiver moi je vous prie. Votre périple a du être long et plusieurs Argoniens avant vous son passé par la.

    Les femmes était inconsciente, Elles ont suivit le Dunmer jusqu’à sa demeure. Mais les Hommes était beaucoup plus méfiant.
    L'elfe nous conduisit vers un manoir, sont manoir. Une gigantesque et ancestrales demeure construite dans la plus pure tradition Elfe Noir. L'intérieur est tout aussi gigantesque que l’extérieur, les meubles sont d'une beauté inimaginable, tout objet est recouvert de dessous en Soie. Ce genre de chose plaît au femmes. Nous étions resté dedans jusqu'a la nuit. Celle-ci arrivée, il était je pense tant de se lâcher. De se libérer et d'oublier les horreurs d'auparavant. Les femmes qui avaient perdu leurs enfants dans le marécage hurlait comme des louves ; toutes sentaient sinistrement la déchéance de la race et les lendemains lourds des jours a venir. Quelques une ayant sauvé leurs petits, les élevaient vers le plafond.

      La date/heure actuelle est Mer 15 Mai - 13:45