Background: WILFRID LOCKWOOD
Nom:Val-de-Froid
Nom d'emprunt : Lockwood
Prénom: Dalis
Prénom d'emprunt : Wilfrid
Race: Nordique
Spécialité: lame longue, arme contondante, parade, Mysticisme et altération.
Résumé de son histoire : né en Bordeciel, a passé une enfance paisible avec son père, sa mère et sa sœur avec qui il se lia d'une profonde et éternelle admiration.
à dix ans, a suivi une formation rigoureuse et éprouvante d’exorciste d'où il n'en tira que quelques connaissances et très peu de satisfaction.
à 16 ans rencontra un barde qui lui apprit la musique, une révélation pour le Nordique. Reçut un luth enchanté du barde, où un chat serait mort de vieillesse et hanterait dorénavant l'instrument.
Depuis peu, est partit en voyage sur les routes de Tamriel pour s'exercer pleinement à son art, sous l’approbation de sa mère, la fierté de son père et l'inquiétude de sa sœur.
Décida de se donner un autre nom affin de laisser sont histoire de jeunesse et ses promesses d'exorciste derrière lui mais non sans garder le contact avec sa famille et surtout avec sa sœur.
Caractère(*): atteint du Syndrome dissociatif, un peu naïf, approfondit toujours au maximum un sujet, très philosophe, bonne répartie, se vexe pour un rien, pense toujours ce qu'il dit.
Apparence physique(*): homme plutôt maigrichon, cheveux roux lisses et courts, longue tresse partant de la nuque, yeux noirs, 1m97.
Liens familiaux(*): fils de Beoffre Val-de-froid et de Lynn Lockwood, frère de Lily Val-de-froid.
un peu de musique, maestro
Au Sud-Est de Bordeciel,
Non loin de la frontière de Morrowind,
Vivait dans un castel,
Un guerrier à l'humeur livide
A une jeune fermière il se joignit,
Et de leur union,
Naquit la jeune Lily
Dont la puissance, à sa conception
Dépassait déjà celle d'un apprenti
Mais les Val-de-Froid,
Car c'est en cette hypothèse
Que s’appelait la famille de ces trois,
N'eurent point terminé leurs genèse
Et dans leurs ultime bonheur
Mirent au monde leur second labeur
Dalis destiné à une vie dure
et qui aujourd'hui sait qu'elle est autre que rude
Ils fuirent leurs origines
Pour une petite masure
A la complexité minime
Où enfin, la paix, ils eurent
Où la vie s'achemine
Où la bonté ne se mesure
C'est à cinq ans
Qu'appris enfin Lily
D'une manière marquée par temps
Le pourquoi de son frère encore petit
Non loin de la frontière de Morrowind,
Vivait dans un castel,
Un guerrier à l'humeur livide
A une jeune fermière il se joignit,
Et de leur union,
Naquit la jeune Lily
Dont la puissance, à sa conception
Dépassait déjà celle d'un apprenti
Mais les Val-de-Froid,
Car c'est en cette hypothèse
Que s’appelait la famille de ces trois,
N'eurent point terminé leurs genèse
Et dans leurs ultime bonheur
Mirent au monde leur second labeur
Dalis destiné à une vie dure
et qui aujourd'hui sait qu'elle est autre que rude
Ils fuirent leurs origines
Pour une petite masure
A la complexité minime
Où enfin, la paix, ils eurent
Où la vie s'achemine
Où la bonté ne se mesure
C'est à cinq ans
Qu'appris enfin Lily
D'une manière marquée par temps
Le pourquoi de son frère encore petit
« Maman ! Le bébé me regarde encore ! » cria Lily du haut de son tabouret où elle était monté pour admirer son frère. Il n'avait que quelques mois et, déjà, il ouvrait les yeux avec émerveillement, sans jamais rechigner de les fermer.
« Mais c'est qu'il commence à s'habituer à ta présence ma chérie »
Lily regarda encore Dalis qui souriait de plus belle, puis elle descendit du tabouret, ses longs cheveux roux flottant dans les air et caressant ses joues . A cinq ans, on devinait déjà qu'elle serait une magnifique demoiselle.
« Dis moi maman, pourquoi as-tu choisies Dalis comme prénom ? » demanda-t-elle à sa mère.
« Mais c'est ton père qu'il l'a appelé ainsi. »
« Oui ! Mais moi je veux savoir pourquoi ! »
La mère soupira
« bon … d'accord !"
elle s’installa dans son fauteuil
"Vois-tu, ton arrière grand-père s'appelait Dale, c'était un guerrier hors du commun ! il pouvait, d'après la rumeur, tuer cinquante soldats, dix fantômes et un écureuil en un seul coup d'épée! »
Lily, étonnée, commença à sauter sur place.
« Ouaw ! C'était le grand-père de papa ? »
« Et oui ! Mais cette réputation n'est qu'une rumeur Lily. Et ... »
la mère n'eut pas le temps de terminer
« oui oui … la rumeur est la fumée du bruit ! Je sais ! Tu peut continuer l'histoire s'il te plais ? »
« Un jour, lors de son entraînement quotidien, il aperçut une splendide jeune femme ! tellement belle, qu'il la suivit jusqu'à sa demeure. Elle habitait un petit chalet non loin de la clairière de Vendombre. Lorsqu'il se trouva devant le seuil de la porte et qu'il frappa, la jeune fille lui ouvrit et le prit par le poignet. Mais à l’intérieur, la demoiselle avait disparut et à la place d'un chalet se trouvait désormais une forteresse au mur de pierre et au faible éclairage. Il tourna en rond dans les couloirs un très long moment jusqu'à ce qu'il tombe sur une salle … une très grande salle... »
La mère s'arrêta et eu une légère hésitation à continuer son récit. Mais Lily se montra impatiente :
« Et alors maman ? Qu'es ce qu'il y avait dans cette salle ? »
la mère, tout en se reprenant mais avec une certaine réticence, continua son histoire.
« Et bien … On dit qu'il y trouva un monstre ... »
« qu'elle genre de monstre ? » demanda Lily avec enthousiame et curiosité.
« ça : ton père ne me l'a pas dit … la seule chose que je sais, c'est que Dale sortit vivant du fort mais tout de même blessé d'une … disons … d'une certaine manière ... »
« qu'elle genre de manière ? »
« Dit moi petite chipie, tu n'as pas finis de me poser des questions ? Dit la mère sur un tond gentillet, en plus il se fait tard et, si ton père te voit encore debout, il va piquer une crise ! Allé ! Au lit ! »
« Mais maman, tu n'as pas finis ton histoire ! »
« je la terminerais une autre fois ! Files te coucher ! »
Lily alla donc dans sa chambre l'air abattu. Mais sa mère avait raison, la suite de l'histoire n'aurait pas plut à sa fille … car Dale sortit effectivement du fort … Mais pas seul : il traînait derrière lui le cadavre de la femme décapité et tenait dans sa main gauche une fleur de Lys … noire.
Pendant plusieurs années
Lily apprit l'art de la guérison
Et sont frère à l'âge demandé
Reçût l’enseignement d'Orlon
Bien que le vieil homme
Ait teint son nom secret
Les progrès du petit d'homme
Ne faisait qu’amplifié
A ses dix années
Orlon put enseigner enfin
Le métier qui été destiné
Au garçon qui ne se doutait de rien
Lily apprit l'art de la guérison
Et sont frère à l'âge demandé
Reçût l’enseignement d'Orlon
Bien que le vieil homme
Ait teint son nom secret
Les progrès du petit d'homme
Ne faisait qu’amplifié
A ses dix années
Orlon put enseigner enfin
Le métier qui été destiné
Au garçon qui ne se doutait de rien
« Maître ! Pouvons-nous arrêter ici ? J'ai très mal à la tête ... » se plaignit le jeune rouquin assit sur un banc de pierre. Cela faisait bientôt cinq heures qu'ils étudiaient dans le jardin. Son maître se tenait face à lui, les cheveux dans le vents, regardant son apprenti avec sérieux et tenant fermement son bâton dans la main gauche ainsi qu'un livre dans la main droite.
« Qu'es que tu peux être feignant parfois ! Terminons donc cette leçon sur les trolls et nous passerons ensuite à autre chose ! Donc … peut-tu répéter ce que je viens de te dire ? » demanda le vieil homme en fronçant les sourcils.
« heu …vous avez dis attendez que je me rappelle ... heu ... »
Le pauvre garçon était, depuis ses premiers mots, soumis à un étrange défaut mémoriel : à chaque fois qu'il dut se rappeler, ses souvenirs se mélangeaient pour ressortir sous une forme totalement absurde et même parfois sans aucun sens apparent. Deux choix se présentaient chaque fois à lui : soit il disait les choses comme il les pensait, soit il innovait pour ne pas se faire passer pour le dernier idiot venu. Comme son maître n'aimait pas qu'il soit hésitant, Il répondit la première chose qu'il lui vint à l'esprit.
« vous avez dis : qu'il faut embrasser un gnoll pour pouvoir faire un vœu ? »
« Mais enfin ! Ou vas-tu chercher tout cela ! Tu as vraiment l'esprit embrouillé pour sortir de pareilles sottises ! J'ai dis que les trolls détestent le feu ! Essayes d'embrasser un gnoll et tu verras que le seul vœu auquel tu pensera à se moment sera un bon bain de bouche et des jambes pour courir ! »
Le jeune Dalis baissa la tête, regardant ses bottes.
« Désolé Maître … je n'arrive pas à m’ôter cette chose stupide. »
« tu réfléchis trop vite mon garçon … c'est la première fois que je dois m'occuper d'un cas comme toi … heureusement que tu prends bien tes notes, dit l'homme en regardant sévèrement son apprenti, mais je crois que nous allons reprendre cette leçon plus tard … j'ai quelque chose d'important à te faire part ... » l'homme s'assit à coté du jeune Nordique et remit le livre dans sa besace.
« j'attendais que tu ais l'âge requit pour te le dire et … je crois que tu est maintenant apte à comprendre et à réfléchir de tes actes ! »
Le jeune garçon regarda son maître avec une attention nouvelle.
« Voila je m'appelle Orlon ... »
« Mais votre vrai nom n'est pas Marvin ? Vous m'aviez dis que c'était Marvin ! »
l'homme eut un long soupir. Il s'appuya sur son bâton.
« et bien non … je me suis tut à ce sujet car je doit rester, dans cette région,... disons … discret »
dit-il en adressant un clin d’œil à Dalis.
« mais en quoi devez-vous rester caché ? »
« et bien … je suis plutôt réputé dans un domaine … que les nordiques n'apprécient guère, comme la plupart des autres ethnies, car tous sont de nature plutôt superstitieuse et tous nous considèrent comme maudits moi et mes semblables... »
Dalis le reprit.
« Mon père est un nordique de même pour ma mère et ma sœur ! Ne dites pas des choses pareille ! »
« c'est ton père qui me paye pour que je t'enseigne tout ce que je sais ! Jamais je ne le traiterais de cette manière ! Je parlais des nordiques en général et non pas spécialement de ton père ! Et cesse de me parler sur ce tond ! » hurla-t-il à Dalis qui baissa une seconde fois la tête.
« je disais-donc que j'ai une activité plutôt mal vue dans la région : je suis une sorte de ... de ... quel therme utiliser ! ... un exorciste. »
l'apprenti fronça les sourcils.
« un quoi ? Un encyclopédiste ? »
Orlon leva les yeux en signe d'agacement.
« Un exorciste ! »
Le jeune garçon se frotta le menton.
« mon père m'en a déjà parlé … oui ! ça y est ! il m'a dit que vous chassiez les fantômes en les renvoyant dans l'autre monde en abattant quelques daedras et quelques monstres au passage !... en résumé vous êtes des guerriers non ? J'ai toujours voulus être un guerrier ! »
Orlon eu un léger sourire mais reprit son sérieux.
« Ce n'est pas si amusant que ça, vois-tu … on doit faire beaucoup de sacrifices si l'on suit cette voie … à commencer par le fait de ne compter sur très peu de monde ! »
« oui mais ça n'a aucune importance quand on combat un daedroth à mains nues ! »
son maître le coupa net.
« je ne dirais pas ça si j'étais toi ! Un Daedroth doit être prit au sérieux comme toute les créatures qui existe dans ce monde … et de les combattre seul est extrêmement lourd parfois ... »
Dalis fis mine de ne pas écouter
« comme j'aimerais faire comme vous ! »
Orlon se leva du banc et se baissa au niveau du jeune rouquin. Il mit sa main sur son épaule.
« c'est justement ce que je vais te proposer aujourd'hui Dalis ! »
Le garçon n'en cru pas ses oreilles !
« Mais avant que tu me répondes : j'aimerais que tu réfléchisses à ma proposition, il marqua une pause, et à ce que je viens de te dire ! »
Dalis pausa sa main sur celle de son maître.
« Pas besoins de réfléchir ! J'accepte »
le vieil homme se releva et dit.
« très bien ! Donc si tu accepte : nous augmenterons le nombres de leçons sur la botanique, l'histoire et la géographie plus plusieurs heures où nous étudierons la mythologie … Mais avant tout cela ... »
le maître repris le livre sur lequel ils étaient en train de travailler.
« peut-tu me dire ce que craignent les trolls ? »
« heu … ils craignent quoi les trolls ? … heu … ils craignent quand leur soupe est trop salée ? »
La suite ... dans pas longtemps