Un petit poème à lire jusqu'au bout, il est quand même bien dégueulasse !
Souvenirs d'une enfance bienheureuse
Sur un arbre perchait un nœud
Splendidement noué par un bienheureux
Superbement conservé depuis ce temps
Qui déjà remonte à plus d'un an
Mes pas cessaient et je me souvenais
D'une heureuse enfance où je jouais
Montant quelques cabanes avec de la corde
Et à les entretenir et y mettre de l'ordre
Magnifique nœud ! Il me faisait rêver
Du temps qui inexorablement devait passer
Perdu à jamais sauf dans mes souvenirs
Que je garderais jusqu'à enfin périr
Oui, mes pas cessaient
Quand je partais et revenais
Même quelques jours après
Mes pas cessaient
Il devait être serré par un fin connaisseur
Car depuis tout ce temps d'une année et deux heures
Ce nœud n'avait pas changé du tout
Au contraire du corps qui pendait au bout
Souvenirs d'une enfance bienheureuse
Sur un arbre perchait un nœud
Splendidement noué par un bienheureux
Superbement conservé depuis ce temps
Qui déjà remonte à plus d'un an
Mes pas cessaient et je me souvenais
D'une heureuse enfance où je jouais
Montant quelques cabanes avec de la corde
Et à les entretenir et y mettre de l'ordre
Magnifique nœud ! Il me faisait rêver
Du temps qui inexorablement devait passer
Perdu à jamais sauf dans mes souvenirs
Que je garderais jusqu'à enfin périr
Oui, mes pas cessaient
Quand je partais et revenais
Même quelques jours après
Mes pas cessaient
Il devait être serré par un fin connaisseur
Car depuis tout ce temps d'une année et deux heures
Ce nœud n'avait pas changé du tout
Au contraire du corps qui pendait au bout